Careldia : Sagas d'Elmoreden

Dans la soirée d'hier on à pu entendre de nombreuses gueulantes pousser depuis la maison Kal'Daka.
La dernière en vie de cette maison, Anelak, serait aller en ville après plusieurs long mois d'absence et apprit que personne n'en connaissait les raisons, personne ne fut averti comme elle l'avait demandé.

On la vit le teint plus pale qu'à laccoutumé, sa démarche était mal assurée, elle parraissait amaigrie... Certains ont crue voir un revenant, beaucoup en réalité...
Pas étonnant lorsqu'on y songe.

La Yathrin chargé de sa santé se serait vue congédié suite à la dispute, elle raconta plus tard qu'il n'était pas de son ressort d'être une méssagère pour avertir les autres de sa maladie qui la tenait cloué au lit,elle avait déjà bien assé à faire de la soigner quotidiennement, et de plus, il ne s'en fallue de peu qu'elle n'y survive pas.
Elle avait pensé que son devoir était de garder le silence auprès de ses proches car une disparition était plus agréable à l'esprit que la réalité de sa maladie qui l'avait tant amoindie qu'elle ne pouvait même pas manger seule, et puis, elle n'était réellement pas certain de sa guerrison...

A cette rumeur, la jeune enfant se rua vers la demeure de Anelak. Heureuse de cette nouvelle et de son retour, pleurant à chaude larme durant sa course et hurlant de joie dans tout le village.

On la revoit désormais un peu plus fréquement au village d'Elzyr'ith mais pas encore à une fréquence quotidienne.
On la dit repprendre un visage moins fantomatique, moins en paleur et son corps également retrouve peu à peu son poids d'antan.
Elle aurait une nouvelle armure, moind lourde que celle d'à son habitude mais également plus élégante et laissant apparaitre ses formes généreuses en fase d'être retrouvés.

On la dit allant s'entrainer à l'extérieur durant des heures ou bien des jours entiers.
Elle s'achanerait ainsi afin de retrouver la maitrise, qu'elle avait constaté médiocre il y à peu lors d'affrontement au chateau d'Oren, de son art.
Son humeur devenait glacée, elle parlait peu et restait en retrait lorsqu'il y avait du monde au village.